Centre Ludmer

Olivia Ruge, un parcours marqué par la curiosité, la persévérance et la passion

naghmeh.shafiei@mcgill.ca — Mon, 08 Sep 2025 19:57:12 +0000

Olivia Ruge a récemment obtenu son baccalauréat en neurosciences, une expérience qui a éveillé en elle une passion pour la recherche scientifique et le souhait d’une carrière dans le milieu universitaire. Inspirée par son passage à l’Université ɬ�﷬ et le mentorat dont elle y a bénéficié, elle se lance vers un avenir prometteur. Cet automne, elle entamera un doctorat en neurosciences à l’Université de Californie à San Francisco.

Bienvenue à Loïc Binan, Ph. D., à l’Institut Lady Davis et au Centre Ludmer

naghmeh.shafiei@mcgill.ca — Wed, 06 Aug 2025 14:00:00 +0000

Nous avons le plaisir d’accueillir le Pr Loïc Binan à titre de chercheur principal au Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale, où il se joindra à l’Initiative de génomique unicellulaire du cerveau. Loïc Binan est professeur adjoint au Département de génétique humaine de l’Université ɬ�﷬ et membre associé de l’École des sciences biomédicales et du Programme intégré en neurosciences.

Alan Evans reçoit l'Ordre du Canada

Le Neuro — Thu, 03 Jul 2025 18:48:16 +0000

Une carrière marquée par des percées dans le domaine de la neuroimagerie est récompensée par l'une des plus hautes distinctions nationales

Bienvenue au Centre Ludmer, Dr Simon Thebault!

naghmeh.shafiei@mcgill.ca — Mon, 16 Jun 2025 17:24:27 +0000

Nous sommes ravis d’accueillir le Dr Simon Thebault, Ph. D., au Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale, dans le cadre de notre Initiative de génomique unicellulaire du cerveau. Le Dr Thebault est professeur adjoint au Département de neurologie et de neurochirurgie de l’Université ɬ�﷬ et médecin traitant à l’Institut‑Hôpital neurologique de Montréal (Le Neuro). Ses recherches sont profondément ancrées dans la médecine translationnelle, faisant le pont entre les soins aux patients et les découvertes en laboratoire.

Bienvenue au Centre Ludmer, Dr Charles Couturier!

naghmeh.shafiei@mcgill.ca — Mon, 09 Jun 2025 19:04:58 +0000

C’est avec grand plaisir que nous accueillons Charles Couturier , M. D., Ph. D., au Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale, dans le cadre de notre Initiative de génomique unicellulaire du cerveau.

Parlons de stress - entrevue avec Rose Bagot

Naghmeh Shafiei — Wed, 19 Feb 2025 15:50:54 +0000

Rose Bagot, Ph. D., est chercheuse principale au Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale. Elle étudie les modèles murins de stress dans l’espoir ultime que les troubles liés au stress, comme la dépression et l’anxiété, soient mieux compris et mieux traités. Dans cette récente entrevue, elle nous parle de son laboratoire et de ses dernières trouvailles.

Le génie du cerveau

Naghmeh Shafiei — Mon, 16 Dec 2024 20:12:32 +0000

Yasser Iturria-Medina, Ph. D., est professeur agrégé au Département de neurologie et de neurochirurgie de l’Université ɬ�﷬ et chercheur principal au Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale.

« A Galaxy Within: Single-Cell Genomics Open a New Frontier to Understanding the Brain »

naghmeh.shafiei@mcgill.ca — Mon, 02 Dec 2024 15:19:27 +0000

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Le Centre Ludmer et Le Neuro accueillent la professeure Stephanie Zandee

Naghmeh Shafiei — Mon, 09 Sep 2024 18:59:55 +0000

Stephanie Zandee, Ph. D., s’est récemment jointe à l’Université ɬ�﷬ à titre de professeure adjointe au sein du Programme intégré en neurosciences, de chercheuse et de directrice du Laboratoire Zandee, implanté à l’Institut-Hôpital neurologique de Montréal (Le Neuro). La professeure Zandee est la première nouvelle chercheuse principale à prendre part à l’Initiative de génomique unicellulaire du cerveau, par l’entremise de son projet d’étude de la sclérose en plaques à l’échelle unicellulaire.

Une recherche met au jour des différences dans le traitement des menaces par le cerveau selon le sexe

Claire Loewen — Wed, 18 Sep 2024 19:22:29 +0000

Une nouvelle étude a mis au jour des différences significatives entre les souris mâles et femelles en ce qui a trait à leur façon de traiter les menaces, même si les deux groupes affichent des réactions semblables.

Cette découverte donne à penser que le recours à des sujets tant féminins que masculins en recherche neuroscientifique produira des conclusions plus fiables et, à terme, de meilleurs résultats cliniques.