Élection d’Alan Evans comme membre de la Royal Society
Une reconnaissance pour une vie consacrĂ©e Ă la recherche de premier planAlan Evans, chercheur au Neuro, Professeur James ɬŔď·¬ de neurologie et de neurochirurgie et co-directeur du Centre Ludmer en neuroinformatique et santĂ© mentale a Ă©tĂ© Ă©lu membre de la Royal Society. Il se joint ainsi Ă un groupe de scientifiques qui compte un rĂ©cipiendaire du Nobel et un ancien conseiller mĂ©dical en chef du PrĂ©sident des États-Unis.
Deux projets du Neuro obtiennent le financement d’un partenariat international
Les chercheurs Ă©tudieront l’influence des hormones sur le cancer du cerveau et le rĂ´le des circuits neuronaux dans les compĂ©tences socialesĚý
L’Institut du Cerveau et l’Institut Pasteur de Paris financent avec le Neuro deux études avant-gardistes, qui recevront plus de 440 000 dollars chacune. Ces projets s’inscrivent dans le contexte d’une collaboration internationale pour affronter les défis futurs en neurosciences.
Une subvention de 10,6 millions pour un projet novateur sur l’autisme
La Plateforme translationnelle de ɬŔď·¬ pour la recherche sur l’autisme Ă©claircira les bases neurobiologiques de ce troubleLa Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) vient d’accorder une aide financière de 10,6 millions de dollars Ă un rĂ©cent projet rĂ©unissant le Neuro, l’UniversitĂ© ɬŔď·¬ et l’Institut de recherche du Centre universitaire de santĂ© ɬŔď·¬ (IR-CUSM), Ă mĂŞme son fonds d’innovation.
L’intelligence artificielle, un partenaire pour les découvertes neuroscientifiques
Selon un récent article, les grands modèles de langage sont en mesure de réaliser des percées auxquelles ne parviennent pas les humains seulsL’année passée a été marquée par des avancées majeures dans le domaine des grands modèles de langage (GML), comme ChatGPT. La capacité de tels modèles pour déchiffrer et produire des textes lisibles (et d’autres données séquentielles) a des implications directes dans de multiples sphères de l’activité humaine.
Changement de paradigme dans les maladies neurologiques
Les chercheurs proposent un nouveau modèle de classification pour la maladie de ParkinsonĚý
Évaluer les conséquences imprévues d’une formation neurochirurgicale assistée par l’IA
Les tuteurs d’apprentissage automatique ont des conséquences surprenantes à la fois positives et négatives sur les étudiantsLes simulateurs de réalité virtuelle permettent aux apprenants d’améliorer rapidement leurs compétences techniques sans aucun risque pour les patients. Les étudiants en médecine peuvent ainsi s’exercer lors d’interventions complexes en neurochirurgie avant d’utiliser un scalpel sur un vrai patient.
Les chercheurs du Neuro obtiennent plus de 3,6 millions de dollars en subventions des IRSC
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Ces projets permettront de dĂ©couvrir l’origine gĂ©nĂ©tique des maladies, d’expliquer la formation de la cognition et de la mĂ©moire et d’amĂ©liorer la prĂ©cision chirurgicale et le diagnostic après une commotion cĂ©rĂ©braleĚý
Nouvelles pistes sur les causes de la gravité de la sclérose en plaques et sur les moyens de la prévenir
Des chercheurs découvrent le premier marqueur génétique de sévérité pour la sclérose en plaques, ouvrant ainsi la voie à des traitements pour éviter l’invalidité à long termeUne étude, portant sur plus de 22 000 personnes atteintes de sclérose en plaques, a permis de détecter la première variante génétique associée à une progression rapide de la maladie, susceptible de conduire à une perte de mobilité et d’autonomie au fil du temps.
Une nouvelle plateforme numérique pour simplifier le processus de consentement
Dans le cadre du partenariat avec Novartis Pharma Canada inc., un moyen rapide est mis en place pour faciliter la contribution des patients Ă la rechercheĚý
Une subvention de 6 millions de dollars pour nouveau registre de patients en science ouverte
Objectif : accélérer la recherche et permettre aux patients de voir l’utilisation de leurs données pour la découverte de traitementsLa Fondation Brain Canada subventionnera la création d’un nouveau registre de patients en science ouverte, afin de diffuser les données auprès des chercheurs du monde entier. Les patients pourront aussi savoir comment leurs données contribuent à la mise au point des traitements en neurologie.
Tel que démontré lors d’une étude, la neurodégénérescence liée à l’obésité reproduit les symptômes de la maladie d’Alzheimer
ł˘â€™ałľľ±˛Ôł¦ľ±˛ő˛ő±đłľ±đ˛ÔłŮ du cortex temporo-pariĂ©tal droit et du cortex prĂ©frontal gauche Ă©tait analogue dans les deux groupesĚýUne nouvelle Ă©tude menĂ©e par des scientifiques du Neuro (Institut-HĂ´pital neurologique de MontrĂ©al) de l’UniversitĂ© ɬŔď·¬ a permis d’établir une corrĂ©lation entre la neurodĂ©gĂ©nĂ©rescence chez les personnes obèses et chez les patients atteints de la maladie d’
Le directeur du Neuro coprésidera une nouvelle initiative d’essais cliniques à l’échelle nationale
Le consortium réunit des centaines de chercheurs issus de 28 réseaux et de 11 unités d’essais partout au paysLes Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) ont annoncé aujourd’hui le financement d’un nouveau consortium d’essais cliniques coprésidé par le Dr Guy Rouleau, directeur du Neuro (Institut-Hôpital neurologique de Montréal).
Découverte de la cause génétique de l’une des ataxies tardives les plus fréquentes au monde par un groupe de chercheurs de Montréal et de Miami
Cette découverte a des implications diagnostiques et thérapeutiques pour un grand nombre de patients au niveau international
Un guichet unique pour l’imagerie cérébrale
Un seul logiciel réunit plusieurs cartes du cerveau en un même lieuLe cerveau est un organe complexe et aucun mode d’imagerie n’arrive à saisir toutes ses fonctionnalités. Au fil des années, les « cartes cérébrales » se multiplient, chacune se concentrant sur des processus différents, allant du métabolisme aux fonctions cognitives. Sans nier l’importance de ces cartes, leur utilisation isolée limite les découvertes scientifiques.
Une étude québécoise sur la COVID longue recherche des participants
L’objectif est de connaître l’évolution des symptômes post-COVID et leur incidence sur la vie des patientsDepuis le début de la pandémie, le Québec compte plus de 1,1 million de cas de COVID-19 et, selon les estimations actuelles, jusqu’à 330 000 personnes dans la province pourraient avoir ce que l’on appelle la COVID longue, ou syndrome post-COVID-19.