Les Services de l’approvisionnement de ɬŔď·¬ contribuent Ă l’avancement du dĂ©veloppement durable dans le domaine des produits Ă©lectroniques
Les Services de l’approvisionnement de l’UniversitĂ© ɬŔď·¬ contribuent au dĂ©veloppement et Ă l’amĂ©lioration continus des critères de durabilitĂ© EPEAT, un système international d’écoĂ©tiquette de premier plan utilisĂ© dans le secteur de l’électronique. Au cours des dernières annĂ©es, StĂ©phanie Leclerc, responsable du programme d’approvisionnement responsable de l’UniversitĂ© ɬŔď·¬, a participĂ© avec diffĂ©rentes parties prenantes – notamment des organismes gouvernementaux, des ONG, des fabricants et des groupes environnementaux – Ă des comitĂ©s techniques pour la rĂ©daction de ces nouvelles normes.
Les critères EPEAT actualisés, qui entreront en vigueur le 1er novembre 2025, couvrent plusieurs enjeux importants, dont le climat, la circularité, les produits chimiques et les chaînes d’approvisionnement responsables. Les critères mettent l’accent sur la promotion de la décarbonation, de l’efficacité énergétique, de la réduction des substances dangereuses et des pratiques durables telles que le recyclage, la réparabilité et la gestion responsable de la fin de vie des produits.
« En participant à ce processus, nous contribuons à établir des critères qui reflètent les intérêts des acheteurs institutionnels qui, comme nous, souhaitent s’approvisionner en produits électroniques répondant à des normes de développement durable plus élevées, explique Stéphanie Leclerc. Notre participation nous offre également une occasion unique de comprendre certains des risques sociaux et environnementaux de notre chaîne d’approvisionnement en produits électroniques, et ce que les grandes marques et les fabricants peuvent faire pour gérer et prévenir ces risques », ajoute-t-elle. Stéphanie Leclerc a été membre du conseil aviseur d’EPEAT pendant huit ans et, s’est joint également aux comités techniques de la National Science Foundation (NSF) chargés de superviser l’élaboration et l’adoption des nouveaux critères de développement durable pour l’industrie.
Selon le Global Electronics Council qui gère le programme EPEAT depuis sa crĂ©ation en 2006, l’écoĂ©tiquette EPEAT a permis de rĂ©duire de plus de 341 millions de tonnes d’équivalent CO2 et d’économiser 34 milliards de dollarsĚýsur la durĂ©e de vie des produits.
Paul Chamberland, chef des services d’information de ɬŔď·¬, souligne l’importance de ces nouveaux critères : « La mise Ă jour du système EPEAT nous aidera Ă prendre des dĂ©cisions plus Ă©clairĂ©es pour suivre et gĂ©rer les impacts environnementaux et sociaux de notre chaĂ®ne d’approvisionnement ».
L’acquisition de produits enregistrĂ©s EPEAT est un Ă©lĂ©ment important du programme STARS (Sustainability Tracking, Assessment & Rating System), crĂ©Ă© par l’Association for the Advancement of Sustainability in Higher Education (AASHE), pour lequel ɬŔď·¬ a obtenu la cote Platine. Ă€ l’instar des universitĂ©s participant au programme STARS d’AASHE, ɬŔď·¬ doit dĂ©montrer qu’elle se procure des produits EPEAT qui respectent des normes Ă©levĂ©es. Notons par ailleurs que l’atteinte de ces critères est conforme Ă l’engagement de l’UniversitĂ© de prioriser l’approvisionnement responsable et de faire preuve de leadership en matière de dĂ©veloppement durable.